Lire le même livre et partager la même histoire

Lire le même livre et partager la même histoire

Dans le cadre de l’initiative de lecture « One Book Nova Scotia », Alissa York, l’auteure du livre choisi, se rendra dans des bibliothèques un peu partout dans la province pour lire des extraits de son roman  Fauna et discuter avec les gens.

L’initiative « One Book Nova Scotia », qui a connu du succès à sa première année en 2012, emprunte l’idée du club de lecture local et l’applique à une plus grande échelle en tenant des activités publiques et en se servant des médias sociaux pour encourager la participation. En incitant les gens à lire le même livre et à partager la même histoire, le programme contribue à faire naître une culture de la lecture, à promouvoir la littérature canadienne et à créer des occasions pour que les lecteurs échangent leurs opinions sur le même livre.

Le livre choisi pour 2013 a été annoncé récemment lors du lancement du programme « One Book ». Fauna est un roman humain dont l’action se déroule à Toronto. Il raconte l’histoire  d’une agente fédérale de la protection de la faune qui découvre la chaleur et la tendresse du monde animal dans un environnement urbain d'aujourd'hui. Vivant en bordure de la société urbaine et coexistant avec les animaux, des êtres humains de tous les horizons échangent leurs histoires de pertes et de traumatismes et travaillent à rebâtir leur vie en prenant soin les uns des autres et de la faune urbaine.

Alissa York, qui habite à Toronto, a reçu les prix Journey et Bronwen Wallace. Ses livres ont été publiés au Canada, aux États-Unis, en France, aux Pays-Bas et en Italie. Son roman Effigy a été en lice pour le prix Giller de la Banque Scotia et présélectionné pour le prix littéraire international IMPAC de Dublin.  

Madame York commencera sa tournée à la bibliothèque publique de Kentville le 2 octobre et se rendra à plusieurs endroits dans la province. En voici la liste :

  • La bibliothèque publique de Kentville (le 2 octobre de 19 h à 20 h)
  • La bibliothèque de l’Université Mount Saint Vincent (le 3 octobre, de 13 h à 14 h)
  • Le Club de l'Université Dalhousie (le 3 octobre de 19 h à 20 h)
  • Le campus Burridge de NSCC (le 4 octobre de 19 h à 20 h)
  • La bibliothèque publique de Lunenburg (le 5 octobre, de 14 h à 15 h)
  • La bibliothèque Spring Garden Road Memorial (le 6 octobre de 14 h 30 à 15 h 30)
  • La bibliothèque Four Fathers Memorial (le 7 octobre de 19 h à 20 h)
  • La bibliothèque Patrick Power, SMU (le 8 octobre de 10 h 30 à 11 h 30)
  • La bibliothèque de la succursale de Truro (le 8 octobre de 19 h à 20 h)
  • La bibliothèque publique de New Glasgow (le 9 octobre de 19 h à 20 h)
  • Le campus Strait Area de NSCC (le 10 octobre de 13 h à 14 h)
  • La bibliothèque James McConnell Memorial (le 10 octobre de 19 h à 20 h)

 

En plus des visites de Madame York, il y aura des activités spéciales dans le cadre du programme « One Book » dans beaucoup de bibliothèques. Pour plus d'information sur toutes les activités autour de ce programme, consultez le calendrier.

Le concept de « One Book Nova Scotia » a été inspiré par le mouvement « One Book » et mis de l’avant par « Librairies Nova Scotia », un groupe appuyé par la Bibliothèque provinciale de la Nouvelle-Écosse et formé de représentants des bibliothèques publiques, universitaires et collégiales qui travaillent sur des initiatives communes. Lancé en 1998, le mouvement « One Book » a pris naissance quand Nancy Pearl, la directrice générale du « Washington Center for the Book » de la bibliothèque publique de Seattle, a lancé l'initiative « If All Seattle Read the Same Book ». Des groupes « One Book », qui visent à établir des liens entre les gens et la littérature, ont été établis partout en Amérique du Nord et sont devenus des rendez-vous de lecture annuels très populaires.

« One Book Nova Scotia » prend fin le samedi 2 novembre. Pour en savoir plus, joignez-vous aux discussions sur Facebook et Twitter et consultez le site Web de « One Book ».

L’initiative « One Book Nova Scotia », qui a connu du succès à sa première année en 2012, emprunte l’idée du club de lecture local et l’applique à une plus grande échelle en tenant des activités publiques et en se servant des médias sociaux pour encourager la participation.